Métaphore plastique, politique, existentielle,
la plaie s’ouvre ici comme un cri du corps,
une faille vive qui résiste à la cicatrisation.
Les œuvres rassemblées nous confrontent
à cette blessure à vif – béante, insistante, tantôt hurlée, tantôt murmurée – qui oscille sans cesse
entre l’éruption violente de la douleur
et son repli silencieux.
Fermeture exceptionnelle de l'espace à Senlis : Jeudi 1er mai et Samedi 3 mai